Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 29 novembre 2011
Le monde éphémère de Rina Banerjee
Quelques perles, un peu de paille qui luit Sans cette libellule rose Arrimée au soleil, Que m’en resterait-il ?
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