Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
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vendredi 25 novembre 2011
Meuble le temps
Ce matin là ne venait en rien Un lit et une chaise Trois raisons de glisser Je ne faisais que regarder À décompter le temps Deux ans deux mois et deux poussières 807 jours à m’entraver
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