Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
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mardi 15 novembre 2011
Tristounette
Clairette, un peu pompette, rouspète, elle se répète dans sa tête huit cent sept défaites à l’odeur aigrelette. Qu’importe l’amertume, elle cherche l’écume. Elle préfère avancer et s’aventurer à l’aveuglette au cœur de la tempête. Suivons-la...
(Histoire de m'arrimer)
RépondreSupprimerDites donc, Estelle,votre bande son, elle caquète et craquète sacrément, si j'osais, je dirais même qu'elle se la pète grave !
Always you favorite beach au Cap !
RépondreSupprimerQui n'est pas la plage aux Agappes...
tant qu'à y être, autant se jeter à la mer
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