Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
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samedi 14 janvier 2012
Désenchantement
Les oiseaux sont encore plus nombreux que vous ne le pensez mes obsessionnels amis !
Les oiseaux sont des cons (Chaval)
RépondreSupprimerEt nous sommes tous de drôles d'oiseaux...
Magnifique photo. On peut savoir le sujet?
RépondreSupprimerPlus de 807?
RépondreSupprimerJoli ! Les oiseaux de Hitchcock qui se tapent une vieille bicoque ! Je ne sais ce que cela augure !
RépondreSupprimerLes oiseaux se cachent-ils pour se nourrir ?
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