Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
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jeudi 20 décembre 2012
1509. Flamme
Comme un mois de décembre sans fin Tunnel éternel Où est le jour ? Demain peut-être Ranimer la flamme Menant vers l’oubli de ces nuits infinies Se donner 807 raisons d’espérer
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