mardi 26 mai 2009

333 – Kolmesataakolmekymmentäkolme

On comprend bien à la lecture de Chevillard que toute la saveur de sa prose ne tient qu'à ces 807 mots qu'il s'est toujours refusé d'y placer. Dire lesquels serait livrer ici un secret d'une importance si considérable que nous préférons imaginer les exégètes du XXIIe, dans leur galetas galactique, se crêper sans grande pertinence le chignon à ce sujet. Les présents ont toujours raison ; les absents, juste ils parlent.