jeudi 5 novembre 2009

735 – Setecentos e trinta e cinco

J’écris une histoire montagnarde, j’ai l’onglée, j’en peux plus d’avoir froid, c’est trop dur d’écrire dans ces conditions. J’ai donc baissé d’autorité le nivelé, 807 mètres d’altitude au lieu de 2000. Mes personnages de papier se sont rebellés : tu n’es plus crédible !

Ah oui ? J’ai cessé d’écrire et ils sont morts de froid.