Le soir, j’écoute, c’est du Bach, violoncelle. Ça me plaît.
Le lendemain matin, elle est là, justement devant les casiers et je m’apprête à la remercier quand elle se retourne vers Antoine, l’assistant du DRH et lui demande de sa voix pointue : « Alors, tu as écouté mon CD ». « Quel CD ? »
Le casier d’Antoine est au-dessus du mien : numéro 807. J’essaie de remettre discrètement l’objet, mais à ce moment-là, elle me voit : « Ah ça, je m’en doutais. C’est donc toi qui voles dans les casiers ! »

Injustice !
RépondreSupprimerBon, là, j'ai bien ri.
RépondreSupprimerVoilà où mène l'addiction au 807!
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