
Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
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Mumu, je te connais pas mais je t'aime bien quand même tu sais... parce que chacun ici bas mérite de l'amour... et que sans amour, la vie c'est trop triste. Y'a plus qu'à s'en coller une dans le chignon.
RépondreSupprimerAllez les autres, dites-lui que vous l'aimez aussi quoi ! ça mange pas d' pain et pis ça lui fera plaisir à Mumu !
je suis un des 807 qui aime Mumu :)
RépondreSupprimerMumu...moi aussi je t'aime...et même que je n'aime plus personne tellement je t'aime !
RépondreSupprimerMuriel, je t'AIME Beaucoup, Passionnément et même à la FOLIE !
RépondreSupprimerTristan j'y crois pas, on s'est connus AVANT ?
RépondreSupprimerOui, Le Gigot, nous avons regardé l'aube ensemble. T'en souviens-tu au moins ? Mais à présent, nous la regarderons avec Muriel car je crois bien que je ne peux plus vivre sans elle. Je l'aime Muriel, tu sais !
RépondreSupprimerAlors ? Heureuse ?
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