lundi 12 octobre 2009

665 – Seicentosessantacinque

Pendant ton absence, je vais m’efforcer de continuer à ton intention ma huit cent septième lettre de troubadour musclé, se donnant à fond dans l’amour courtois. J’ignore si ça te plaira (tu es tellement difficile et surtout imprévisible pour moi), mais c’est l’intention qui compte n’est-ce pas, et rien ne t’interdit de me corriger 807 fois.