samedi 17 octobre 2009

678 – Шестьсот семьдесят восемь

L’humain ! Ses jours sont comme l’herbe, celle dont il nourrit son troupeau, celle où il va pieds nus, qu’il lui arrive de mettre dans l’eau bouillante quand il n’a rien à se mettre sous la dent, ou quand il reste dans sa grotte de méditant et que sa peau prend des reflets verdâtres. Dès que souffle le vent, il n’est plus, même la place où il s’asseyait l’ignore. Juste 807 brins d’herbe encore un peu chiffonnés avant le prochain souffle d’air...