vendredi 16 octobre 2009

677 – Seiscentos e setenta e sete

Dans la galerie marchande, des jeunes déambulent bruyamment, des familles regardent les vitrines brillantes. Plus loin, Fred flâne. Il tape la poche arrière de son jean, rien. En perdant son téléphone il a perdu les 807 numéros de ses amis, il se demande si par hasard il les a conservés quelque part. Il s’approche d’une affiche qui propose « la possibilité de mettre des mots sur la souffrance et de retrouver le goût de vivre » aux gens qui appellent.