Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 10 mai 2010
#110 – 807 étoiles
Dans la nuit j'ai compté 807 étoiles.
Pas une de plus, pas une de moins.
Diadème de mots, collier de vocables sur la peau du vent.
merci - première jolie chose de la journée
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