Chacun aura remarqué combien les saison 2 sont souvent décevantes, ne tiennent pas les promesses des débuts. C'est comme le deuxième film de la série, il reprend les ficelles et ne fait que les user encore plus... crac ! Ce summum de décevance est atteint par la saison 2 des 807 qui ne va même pas pousser jusqu'à 807 le nombre des triptyques et a largement dépassé le 269, qui est le tiers de 807 et qui aurait eu un sens, par multiplication s'entend, si les auteurs avaient vraiment voulu bosser, ou vraiment voulu faire semblant, cette année ; et je ne parle pas du taulier qui sait parfaitement lever le coude 807 fois quand on lui aligne des Leffe sous le nez. C'est pourquoi les numéros 3 sont les plus attendus, car souvent les plus réussis: ils ne reprennent que le bon du numéro 1 et jettent le mauvais du numéro 2, se hissant sur la plus haute marche du podium que ses deux prédécesseurs lui ont laissé et à laquelle ils lui ont permis d'accéder, ne lui servant humblement que de paliers.
En fait, cher lecteur, tu avais corrigé toi-même dès le début : ce sont les saisons 3 les plus décevantes, les numéros 3 des films à épisodes. Par ce préambule frauduleux je te préservais. Un cas d'école : Star Wars épisode IV, premier sorti, promet et surprend mais on reste un peu sur sa faim. L'épisode V profite de l'univers mis en place pour nous offrir une narration plus dense et dramatique, tout en ouvrant des perspectives inédites pour la suite, fils conducteurs qui nous tiennent en haleine. L'épisode VI, le troisième film sorti est une blague à base d'ours en peluche, d'happy-ending et de baraka (pardon, de Force). Constatons le même phénomène avec les trois Matrix, les ours en peluche en moins.
Et voilà les lecteurs du web soulagés car enfin Les 807 s'arrêtent ! Ouf !
En fait, cher lecteur, tu avais corrigé toi-même dès le début : ce sont les saisons 3 les plus décevantes, les numéros 3 des films à épisodes. Par ce préambule frauduleux je te préservais. Un cas d'école : Star Wars épisode IV, premier sorti, promet et surprend mais on reste un peu sur sa faim. L'épisode V profite de l'univers mis en place pour nous offrir une narration plus dense et dramatique, tout en ouvrant des perspectives inédites pour la suite, fils conducteurs qui nous tiennent en haleine. L'épisode VI, le troisième film sorti est une blague à base d'ours en peluche, d'happy-ending et de baraka (pardon, de Force). Constatons le même phénomène avec les trois Matrix, les ours en peluche en moins.
Et voilà les lecteurs du web soulagés car enfin Les 807 s'arrêtent ! Ouf !
Pourtant, si l'on file la métaphore, on pourrait penser au saut en parachute : le 1er est génial, plein de sensations, extraordinaire ; le deuxième fait peur car on a une idée de ce qui nous attend ; mais le 3e est le plus fort car il réunit l'émotion à l'expérience... Faisons confiance à Franck qui a plus d'une idée dans le sac.
RépondreSupprimerP
Un, deux, trois : nous irons (donc) au bois...
RépondreSupprimerS'agit-il du troisième degré ?
RépondreSupprimerLe troisième cercle, dans l'Ebfer de Dante,est consacré aux Gourmands. Signe certain que cette troisième saison des 807 sera non seulement potable (surtout s'il y a de la Leffe) mais carrément délectable!
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