Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 21 avril 2011
Réveil
urine et bouteilles cassées le Bairro Alto se réveille
Sans bière et sans Pessoa, sans brins d'herbe – fussent-ils 807 – et sans Chevillard, voici que les 807 se réveillent.
OUAH
RépondreSupprimerBienvenus au Pays des Fées !
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