mercredi 1 février 2012

Au café, 2

Si la trompe de papillon que le serveur m'a apporté l'autre jour a effectivement suffi pour que je boive dans le minuscule verre d'eau accompagnant mon café, elle s'avère aujourd'hui inutile pour trouver, entre les nombreux et iceberguiens glaçons, les molécules d'eau pétillante que je suppose exister dans ce verre avant la fonte des glaces.


Au comptoir, chacun sait bien ce qui s'est passé dans la suite 2 807.

1 commentaire:

  1. En fait il faut deux pailles, une pour l'eau et l'autre pour les bulles.

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