Dans son homélie, l’abbé employait à merveille cette langue des diplomates, des mots qui n’engageaient personne. Il parlait la langue de bois à la perfection. Et « les 807 culs bénits » chantaient des cantiques d’un autre âge.
Le nez du prélat sur lequel se reflétait la lumière blafarde de la lampe à pétrole, trahissait son penchant pour « la grappa » ; tandis qu’un grand Christ sur sa croix, flanqué d’une vierge à l’enfant, le regardait, inconsolable.
Le curé prononça un long discours où furent vantés les mérites du défunt. J’écoutais d’une oreille distraite, mais je ne reconnaissais pas le patron de « Chez Léon » dans ces propos, hormis que son restaurant était très bien tenu.
Le nez du prélat sur lequel se reflétait la lumière blafarde de la lampe à pétrole, trahissait son penchant pour « la grappa » ; tandis qu’un grand Christ sur sa croix, flanqué d’une vierge à l’enfant, le regardait, inconsolable.
Le curé prononça un long discours où furent vantés les mérites du défunt. J’écoutais d’une oreille distraite, mais je ne reconnaissais pas le patron de « Chez Léon » dans ces propos, hormis que son restaurant était très bien tenu.
oui, en lisant les deux premiers, et grand sourire pour le dernier, suis futile
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