– Je te préviens mon bonhomme : je compte jusqu'à trois, et si tu ne t'excuses pas, tu as une fessée. Un. Deux...
– Papa, pourquoi tu comptes pas jusqu'à 807 ?
– ...
– Bah oui, quoi, t'arrêtes pas de nous parler de ton blog.
– Allez, file !
Jamais deux sans trois, dit-on. Je le conçois pour un triptyque, par définition. De même pour un haïku. Mais qu'en sera-t-il pour les saisons des 807 ?
l'automne du gros célibataire
les feuilles qui tombent
et trois rateaux par jour
– Papa, pourquoi tu comptes pas jusqu'à 807 ?
– ...
– Bah oui, quoi, t'arrêtes pas de nous parler de ton blog.
– Allez, file !
Jamais deux sans trois, dit-on. Je le conçois pour un triptyque, par définition. De même pour un haïku. Mais qu'en sera-t-il pour les saisons des 807 ?
l'automne du gros célibataire
les feuilles qui tombent
et trois rateaux par jour
excellent
RépondreSupprimerBravo cher maître-taulier !
RépondreSupprimerun triptyque
RépondreSupprimerun haïku
et un commentaire, un,... qui font trois
Cerisiers en fleurs
RépondreSupprimerLes 807 ont tenus
Plaisir du matin