lundi 29 novembre 2010

#263 – Triptyque gnossien

jouer (même mal) 807 fois


un triptyque de Gnossiennes


et se taire

6 commentaires:

  1. Plus que d'accord avec "Anonyme", puisque, moi, je dirais : SUBLIME !
    "Ceux qui ne comprendront pas sont priés par moi d'observer le plus respectueux silence et de faire montre d'une attitude toute de soumission, toute d'infériorité".

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  2. J'aime

    (à mince, on n'est pas sur Facebook, faut argumenter, alors je m'en vais :-)

    De la guitare, du piano et puis quoi encore, Franck ?

    Pascale

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  3. "Il faut savoir tirer parti de ses handicaps. Ne sachant ni monter à cheval ni jouer du piano, je peux monter l’un ou l’autre et de même jouer de l’un ou de l’autre, fort mal sans doute, mais indifféremment. Et je ne m’en prive pas." Éric Chevillard - L'Autofictif

    Quant au taulier, il sait jouer du piano avec élégance ! Si peu de mots et autant de notes... Triptyque original et rafraîchissant !

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  4. Tu es un homme complet, Franck (Je n'ai pas dit parfait et c'est tant mieux)
    La musique ne sert à rien mais un monde sans musique serait invivable. Ce presque rien est essentiel. (Jankélévitch à dit à peu près ça)
    Merci donc pour ce réveil en Satie.
    Ah, en fait, j'ai retrouvé ce qu'à exactement dit Jankélévitch:
    "La philosophie est comme la musique, qui existe si peu, dont on se passe si facilement : sans elle il manquerait quelque chose, bien qu'on ne puisse dire quoi. On peut, après tout, vivre sans le je-ne-sais-quoi, comme on peut vivre sans philosophie, sans musique, sans joie et sans amour. Mais pas si bien

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  5. Jankélévitch... comme la musique, j'ai du mal à m'en passer.

    Pascale

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