Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 2 février 2009
22 – にじゅうに
Je ne sais pas si je sois être fier d'avoir écrit plus de 807 mots. J'aurais pu faire preuve de plus de concision. Mais si je compte depuis le début, force m'est de reconnaître que c'est la faute à la maîtresse.