Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 14 février 2009
46 – Neljäkymmentäkuusi
L'807 enfance heureuse, l'807 rencontre inoubliable, l'807 femme parfaite, l'807 angoisse profonde, subitement : lui sans cette conne. Une histoire banale, finalement.