Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 20 février 2009
57 – Femtiosju
Pourquoi ne m'a-t-on jamais proposé d'apprendre le suédois à l'école ? Cela m'aurait pourtant évité de m'y reprendre à 807 fois afin de prononcer le nom de ce foutu sofa d'Ikéa.