Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 22 février 2009
61 – Sześćdziesiąt jeden
Ça fait 230 jours en plus de 807 que tu m’as quittée. J’attends douloureusement que le chagrin en fasse autant.