Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 5 février 2009
28 – Otteogtyve
J'imagine qu'en 807, nécessairement, deux de mes lointains ancêtres s'acoquinèrent dans les buissons. Tout ça pour me donner, aujourd'hui, la possibilité d'écrire cette phrase. Non mais c'était déjà vraiment n'importe quoi, à cette époque.