Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 21 février 2009
59 – Femtionio
Parmi les 807 plaies du monde qui m’avaient été réservées, chaque année comptait pour une – grande consolation, à considérer la totalité des malheurs possibles, qu’à chacun n’en soit affecté que si peu.