Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 8 février 2009
34 – Štiriintrideset
807. Voilà bien un nombre qui lui rappelait à quel point l’on est peu de chose, pour ne pas dire rien ; ce qui, somme toute, était une bonne façon de garder le silence.