Huit sans sept. Huit sans sept, cela fait un. Et un, c’est moi sans toi, ou toi sans moi. C’est inutile. Et pour une fois, inutile ne rime pas avec indispensable. Non, je ne vis pas avec mon temps, désolée. Je préfère l’utile, l’agréable, et toi avec moi.
Alors je te prends, toi, et les six autres. Toi, huit, et tes sept femmes. Dont moi. Ce sera huit avec sept, chez moi. Et les six autres, à la cave. Non mais ! Je préfère sept sans six. Et je garde huit.
Calculatrice, va !
RépondreSupprimerLa femme à barbe... bleue ?
RépondreSupprimerUne comptine pour les grands.... :-)
RépondreSupprimerTu as bien raison, non mais !
RépondreSupprimerJean Paul II et j'en retiens un.
RépondreSupprimerMême en retenir six, en fait... Mais si on s'en tient aux 607, on n'est plus dans le bon sujet...
RépondreSupprimerPas dit que Jean Paulain ait été canon, ni barbu, d'ailleurs...
(voilà, je ne sais pas compter, je ne suis pas calculatrice ! Pis j'ai pas assez de boutons... pis... j'ai pas de barbe... et oui, pour les grands, pis j'ai toujours raison !)
Pis je sors, aussi...
Joli calcul...
RépondreSupprimerEt s'il n'est pas d'accord, ce sera 708 et 99 amants...