– C’est pour toi papa, et pour Franck, Joël, Hélène, Joachim, Myriam, Estelle, Michel, Camille et les autres.
– Mais qu’est-ce que c’est ?
– La bête qui vous dévore.

Mosaïque de Louise Prod'hom
Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
Elle est multicolore la bête qui nous dévore ! Merci Louise ! J'ai moins mal déjà ! Grâce à toi !
RépondreSupprimerQue la bête meure! Et que Louise vive!
RépondreSupprimerbien vu.
RépondreSupprimerLouise a dit...
RépondreSupprimerMerci pour les mersis.
Fallait bien lancer tôt ou tard la seconde génération!
RépondreSupprimerJe ne trouve pas le fameux nombre...
RépondreSupprimerCaché ? Dans la mosaïque ? 807 éclats de couleur ?
Nicolas, 807 fragments, vérifiés devant notaire.
RépondreSupprimerEt on ne s'en débarrasse pas facilement de la bête qui dévore ! Merci Louise !
RépondreSupprimer