Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 14 août 2011
Vacuité
Accroché à elle dans la moiteur de leurs corps emmêlés il essaye d'oublier qu'ils ne sortiront pas indemnes de cette histoire.
Et que 807 fois ses bras se refermeront sur le vide.
807 comme un vertigineux corps à corps Joe B
RépondreSupprimerIls fermeront leurs yeux pour contempler les ténèbres lumineuses...
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