Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 5 juillet 2012
Lecteur d'ombre.
Au cœur de la station balnéaire,
807 festivités et occasions
de perdre son temps qui ne vaut plus rien en vacances.
Au cœur de l'ombre, aucune raison de
rompre l'immobilité.
Au cœur de l'arbre, comment ne pas prendre racine, en effet?
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