vendredi 30 janvier 2015

à l'orée de ce lac là

     Autant de ce délire flairé à ras... L'eau vaseuse entoure, non, elle enserre le lisse du fond du vallon, alors ça dort de ci de là, alors un floc sonore lacérera le calme miroir de ta surface où nulle trace. Où l'émotion de ce lieu émousse le son taré, l'avancée évitée où le fun de la muse, où ça désuni dans le cadre ? Sous la ramure, enfin sur l'ile – l'Entité, mais le lac ne délasse ...
photos Nosfermanu


     A l'orée de celui-là de lac, il verra, lui le fils de l'ombre... donc à l'orée vomie de la mine, l'influence floue de l'eau ne laissant moiteur émerger, l'orée mate le filoute flasque, ire moirée de cette onde, il filmera ras la surface amusante, verra l'arasé sans le délire étreint. Mare madrée, marre, marre...Et donc de ses foulées, enfouira les fils indicibles enlacés sans ruses. Mission trouilleuse : fondre l'allure infusée au-delà de sa tarée de vrilles.  Avalé dans les raclements du lac. Funédérailles.


Son effacement retord l'ombre flouée en méduse immense ; fils de l'ombre et de la flamme, serf ou elfe tapi au tatouage crasse derrière ces manutentions fluidifiées, ces lacets dénoués de tortues raflées en mode enflure, ces mammifères raturés et flapis ;


moins deus plus diablesses, in situ l'Entité attaquée en 807 cadences fallacieusement arasées, ossuaire assurément en vrac, race éteinte, ravalages vers ruines marécageuses. Au fond des failles son effondrement calamité, rêves ravalés de leurs limbes acides ; dentures tueuses accrocheuses en remontée de dessous la surface ; à donf fondre d'encagements

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