« Romain Gary est le seul écrivain à avoir jamais été récompensé deux fois par le Prix Goncourt : en 1956 sous Romain Gary et en 1975 sous Émile Ajar. Ce n’est qu’après sa disparition qu’on apprit que, sous le pseudonyme d'Ajar, Gary était également l'auteur de quatre romans dont la paternité avait été attribuée à un proche parent Paul Pavlovitch, lequel avait assuré le rôle d'Ajar auprès de la presse et de l'opinion publique. Ajar et Gary ne furent pas ses seuls pseudonymes puisqu'il est aussi l'auteur d'un polar politique écrit sous le nom de Shatan Bogat et d'une allégorie satirique signée Fosco Sinibaldi. » lis-je sur Calou, l’ivre de lecture. Superbes pieds de nez au Tout-Paris littéraire ! J’envie Gary plus que BHL.
L’imposture est un plat qui se mange chaud, se digère mal chez les piégés, égaie la vie du poseur de canulars. J’en suis à trois, bientôt quatre impostures. Je ne désespère pas d’atteindre mon chiffre sacré, 807.
Fripon, polisson... inutile d’être névrosé pour imposter, simplement joueur. Ne rien prendre au sérieux, sauf le rire et la farce !
L’imposture est un plat qui se mange chaud, se digère mal chez les piégés, égaie la vie du poseur de canulars. J’en suis à trois, bientôt quatre impostures. Je ne désespère pas d’atteindre mon chiffre sacré, 807.
Fripon, polisson... inutile d’être névrosé pour imposter, simplement joueur. Ne rien prendre au sérieux, sauf le rire et la farce !
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