— Tu devrais peut-être la lire avant de partir ! m’a-t-elle répondu, en chuchotant comme le vent dans le cœur des arbres.
Et sur le blanc immaculé de sept feuilles
de papier glacé par ce dernier coucher de soleil estival, elle avait
écrit — avec toute la force imaginative de son rouge à lèvres pailleté —
une phrase qui danse encore à mes oreilles : « Casse-toi ! Pov con ! »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire