Comme il ne pouvait plus faire confiance à Toyoda, le PDG de Toyota, c’était maintenant décidé : sa prochaine voiture serait de marque Peugeot, une splendide 807.
Il l’avait choisie sur Internet, elle possédait un réacteur et deux ailes qui lui permettaient de décoller, survoler la circulation et d’atterrir plus loin lorsqu’il y avait un bouchon avec 807 automobilisés sur l’A4. Heureusement, il connaissait un vendeur, dans une concession proche de la place de la Nation, avec lequel il était en cheville depuis longtemps.
Plus il lui envoyait de clients (il devait distribuer à ses connaissances les cartes professionnelles à l’enseigne du lion de Belfort qui lui avaient été confiées), plus il récoltait des avantages pour le jour où il voudrait s’acheter un nouveau véhicule. Là, ce matin, l’ami de chez Peugeot lui offrait un crédit sur cette voiture de rêve : durée cinq ans, 807 euros par mois, sans frais. De quoi redémarrer à neuf en se fendant la gueule.
Il l’avait choisie sur Internet, elle possédait un réacteur et deux ailes qui lui permettaient de décoller, survoler la circulation et d’atterrir plus loin lorsqu’il y avait un bouchon avec 807 automobilisés sur l’A4. Heureusement, il connaissait un vendeur, dans une concession proche de la place de la Nation, avec lequel il était en cheville depuis longtemps.
Plus il lui envoyait de clients (il devait distribuer à ses connaissances les cartes professionnelles à l’enseigne du lion de Belfort qui lui avaient été confiées), plus il récoltait des avantages pour le jour où il voudrait s’acheter un nouveau véhicule. Là, ce matin, l’ami de chez Peugeot lui offrait un crédit sur cette voiture de rêve : durée cinq ans, 807 euros par mois, sans frais. De quoi redémarrer à neuf en se fendant la gueule.
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