Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 22 septembre 2011
La lettre
Elle aimerait avoir reçu des centaines de lettres d'amour...
C'était où, la dernière ? à 807 années sans lumière ?
Ou un texto?
RépondreSupprimer"Je t'M, LN"...
Elle s'envoie une petite culotte pas du tout idiote...
RépondreSupprimerL N M A C H A U T
RépondreSupprimerOn ne peut vraiment compter que sur soi-même !
RépondreSupprimerÇa me rend un peu mélancolique...