Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 20 avril 2013
manifeste pour la prochaine saison
Quid d'un projet de streetart écrivant 807 dans la ville ?
Tag, affiche, mosaïque, avec QR code. Aussi performance, flashmob, va savoir.
Le nombre inscrit dans le corps de la ville, le dénombrement limite exprimé politiquement, le sens donné enfin à des pierres trop lisses. 807 j'écris ton nom.
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807 j'écris ton nombre.
RépondreSupprimer807 j'écris ton ombre.
Ton nombre/ ton ombre -> j'aime beaucoup !
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