Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 6 novembre 2013
Le silence de 807 vagues
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Sous tension, goutte à goutte sur une veine de sable, c'est la guerre de l'eau, un combat pour la vie bien scénarisé. Arroseur arrosé, "assoiffeur" assoiffé, une histoire d'eau, sans les aspects charnels, qui montent aux tripes ! Va falloir que je m'achète un pistolet à eau pour attendre dans la plaine de ce désert des Tartares d'où l´ennemi viendra qui me fera héros... Merci Camille et bravo !
RépondreSupprimerEn outre, on ne peut pas rester "Etrangé" à ce climat !
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