Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 2 juillet 2009
471 – Czterysta siedemdziesiąt jeden
Voici une entreprise 807 fois idiote, songé-je en contemplant votre 807tomanie et en me demandant comment je pourrais bien y échapper tout en participant (vieux dilemme) mais je ne trouvai pas. Ma note ne sera jamais qu'une des 807 absurdes et vaines dénonciations du Nombre.