Alexandre Jardin, Alexandre Jardin... Mais d’abord, pourquoi Alexandre ?
Hein ?
Admettons quand même. Admettons cette littérature non de 807 herbes mal comptées, mais d’un gros tas de brins sans racines, comme posés en toc sur toute une désertique. Admettons la psychologie de bazar, utilitaire, qui veut qu’une rose ne soit là que pour qu’on la coupe et qu’on l’offre, surtout à une crétine, et, pour appesantir encore la chose, en 807 exemplaires s’il vous plaît. Admettons ces écrits qui jamais n’ont fait l’apologie de la betterave alors qu’on pourrait les y croire structurellement dédiés, quand la casualité d’un simple 807 inflige à la lourdeur studieuse de la courtesse de vue – que la pratique systématique du clin d’œil rend définitivement insupportable – la rutilante et étrange infinité du diverse. Admettons également des tas de choses toujours plus profondément tristes.
Mais pourquoi, Alexandre ?