Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 11 juillet 2009
490 – Patru sute nouăzeci
J'ai accumulé environ 3000 ans de malheur et je suis mort 807 fois à cause de toutes les chaînes email que je n'ai pas renvoyées.