Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 8 juillet 2009
487 – Czterysta osiemdziesiąt siedem
le 8/07 à 8h07 toutes les pendules du fuseau horaire s'arrêtèrent, la blogosphère retint son souffle : l'aphorisme avait une minute de retard !