Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 5 juillet 2009
479 – Štiristo devétinsédemdeset
J'irai par les sentiers faucher l'herbe des prés. J'en composerai 807 herbiers. J'irai vous les porter. Ferai-je sensation ? Telle est la question.