Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 17 février 2012
Noyade
À tenter de briser les 807 chaînes invisibles qui la reliaient à lui elle laissait peu à peu sa vie, ses amis et ses rêves couler au fond des eaux glacées de son incertitude.
Très jolie manière de jeter son encre ici pour la première fois !
RépondreSupprimerattachant ! Tu enchaînes avec quoi ?
RépondreSupprimer