Tout va bien pour les 807, merci, qui infiltrent les jury de prix littéraires et les télévisions d'état tout en jouant au piano une musique hypnotisante et inquiétante avant de conclure par une énigmatique phrase sur l'humain qui vous fait trembler jusqu'à l'ADN.
Mais tout semble être au plus mal pour Éric Chevillard dont le plagiat éhonté de Tromboline et Foulbazar, Le bébé bonbon, vient d'être démasqué par nos services secrets, mais nous ne pouvons rien dire de plus ici sous peine de dévoiler une partie d'une partie d'une des intrigues de son dernier livre L'Auteur et moi.
Et un jour, moi aussi je serai lu par Nathalie Dessay
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