Arpenter les rues de Menton, ville frontalière, plus
italienne que, tu le vois le soleil sur les murs ocres, le cimetière,
les rues étroites dans lesquelles déambuler les boutiques dans
lesquelles on trouve des
Chaleur, bain de mer, trop de monde se replier sur le musée Cocteau, le nouveau, blanc, un piano, Jean Marais le sublime, l'ancien dans le bastion apercevoir la mer par les meurtrières fouler le lézard repartir dans les rues tomber à nouveau sur des
Des 807 qui accrochent notre regard et nous tiennent par la barbichette, une caresse citronnée sur le menton,
RépondreSupprimerfestival et défilé des saveurs... Merci, chère Catherine.