Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 6 avril 2012
807 ?
Une 807 pour tracer une route sans intérêt pour aller vite d'ici à là ou les 807 et ses chemins de traverse où on prend le temps de compter les brins d'herbe ?
Heureusement dans le premier cas, un radar est si vite arrivé, dommage dans le second, nous manquons cruellement de portraits du bonheur dans le pré...
Heureusement dans le premier cas, un radar est si vite arrivé, dommage dans le second, nous manquons cruellement de portraits du bonheur dans le pré...
RépondreSupprimerLe bonheur est partout où on ne l'attend pas!
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