Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 2 avril 2012
Regrets
807 regrets pour le final de la troisième saison des 807.
J ' a i . c o m p t é : 7 8.
RépondreSupprimerVive la quatrième!
RépondreSupprimerTout passe hélas, ou plutôt nous passons.
RépondreSupprimerLes fleurs s'épanouissent à chaque printemps.
RépondreSupprimerOui, dommage ! Mais "passons, passons... puisque tout passe. G.Apollinaire".
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