Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 20 août 2009
530 – Quinhentos e trinta
Lorsqu'elle arriva à 807 moutons, il n'y en eut plus à compter. C'est là qu'elle remarqua qu'ils s'étaient tous endormis entre-temps. Elle soupira, ses yeux étaient encore grand ouverts.