Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 27 août 2009
537 – Fünfhundertsiebenunddreißig
Quand la pierre rebondit sur la surface de la mare, elle généra 807 ondes excentriques, vaguelettes innombrables n’en finissant pas de mourir...