Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 23 août 2009
533 – Quinientos treinta y tres
Au tout début, quand j'ai entendu parler des « 807 », je ne savais pas trop de quoi il retournait. J'avais même pensé, à un moment, que Franck Garot bossait pour une firme automobile, celle où un dénommé Chevillard compte des brins d'herbe, jusqu'à la lassitude, le nombre atteint donnant le nom du prochain modèle.